11 juillet 2022 1 11 /07 /juillet /2022 14:03
Il en remet une couche...

Il y a juste un an, le 11 juillet 2021, je publiais à propos des « vaccins » Covid un papier sur LinkedIn : « Les pensées d’un récalcitrant… » (Pensées d’un récalcitrant… (LinkedIn le 11 juillet 2021) - Vous avez dit Ressources Humaines...?).

J’y dénonçais les choix aberrants de la politique sanitaire, comme l’absence de prévention, la décision de ne pas soigner ainsi que le recul démocratique décidé, avec la contribution active des medias. A l’époque, des impasses politiques furent faites, pourtant si éloignées de tout sens commun. Ainsi l’énormité de la recommandation faite aux médecins généralistes par le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), le 14 mars 2020, de « n’utiliser que le paracétamol à l’exclusion de tout autre médicament », ou la recommandation le 27 mars 2020 du Premier ministre, Edouard Philippe, dissuadant les patients de consulter leur médecin…

Aujourd’hui, je souhaite ajouter trois sujets sur lesquels nous devrions réfléchir :

  • On ne sait toujours rien de la composition de ces pseudo vaccins. Les institutions publiques, nationale comme européenne, n’ont pu l’obtenir de la part des laboratoires qui les produisent, alors même qu’elles ont accepté de se porter garantes financièrement des éventuelles conséquences sanitaires de ces pseudo vaccins. Cela ne s’est jamais vu.
  • La suprématie de l’expert qui suppose que celui qui n’est pas tout à fait d’accord avec lui commence son argumentation par : « Je ne suis pas spécialiste mais… », laissant entendre qu’il convient de s’excuser de n’être qu’un citoyen quelconque… Et bien non, mille fois non ! Un peu d’histoire devrait suffire à rappeler à ces accidentés de la mémoire que l’avis des citoyens est une protection contre les abus des experts. Cela s’appelle la Démocratie. Il faut en effet rappeler que le jeu démocratique est un jeu subtil qui exige la participation de tous (à l’inverse de ce qui a été fait dans la crise sanitaire : je veux parler de l’exclusion des médecins généralistes, des soignants, des patients et de tout intellectuel ayant quelque chose d’intéressant à dire).
  • La désinvolture avec laquelle l’imagerie de la politique sanitaire a été faite. Je songe à ces images et films incessamment diffusés depuis 2 ans, montrant les gens « injectés », leurs nasaux triturés, les Urgences assaillies comme si la Terre venait de s’écrouler alors que tout a été fait depuis des années pour mettre l’hôpital à l’os !  Une question ne cesse en effet de m’inquiéter : les responsables de ces énormités ont-ils seulement réfléchi aux conséquences psychologiques de ces images sur les populations vulnérables ? Car ces images, ces films ont été des moyens absolument minables pour faire adhérer la population à cette politique sanitaire alors même que le danger et la létalité que ce virus présentait n’avaient strictement rien à voir avec l’ampleur de ce qui était clamé tous les soirs.

Beaucoup de choses ont été dites sur ceux qui résistaient à cette politique sanitaire et à ses stupides injonctions (injections…). Que n’a-t-on entendu dont ceci : « On se souviendra longtemps de l’égoïsme des non-vaccinés… » C’est pourquoi il est peut-être temps de rappeler que ceux qui ont résisté ne l’ont pas fait par esprit de malveillance. Ils ont simplement appliqué la phrase d’Alain : « Penser, c’est dire non ». En procédant ainsi, face à la sidération de l’événement, ils ont forcé leur esprit à bouger : en s’étonnant, en observant, en cherchant, en parlant, en écoutant, parfois même en expérimentant (oui, l’Ivermectine, ça marche ! oui la vitamine D protège…) ; ils ont également beaucoup lu et, quelques fois, ils ont écrit… Bref, pendant deux ans, ces résistants ont réfléchi et ils ont travaillé. Ils ont compris bien avant les autres que les chiffres assénés ne disaient pas toute la réalité ainsi que cela a été écrit dans quelques livres sortis sous le manteau il y a quelques mois ; et comme commence à le dire la Presse mainstream, enfin… ! Ainsi, Le Figaro*, il y a 3 jours, faisait parler d’éminents spécialistes et autres épidémiologistes conspués pendant 2 ans sur les méfaits de la gestion de la crise, sur l’efficacité très réduite des pseudo vaccins, sur leur peu d’effets sur la transmission du virus, sur le coût exorbitant des tests, sur le fait que la moitié des patients hospitalisés avec Covid l’ont été, en fait, pour une autre pathologie, vraie cause de leur hospitalisation, sur les effets indésirables graves dont l’information commence à sortir, sur…

Çà et là, la réalité commence à apparaître : il faut lire le petit essai d’Abdennour Bidar paru récemment (Editions Les Liens qui Libèrent). Il faut lire « La doxa du Covid », qui contient une large contribution de nombreux chercheurs dans tous les domaines sur la crise depuis 2 ans (dirigée par Laurent Mucchielli et parue en mars 2022, Editions éolienne).

Dans La porte étroite, Gide dit ceci : « C’est faute d’attention que nous ne nous étonnons pas plus souvent. » Ne devrions-nous pas, dès lors, pour sortir de l’erreur, réfléchir sur les raisons de cette inattention générale suscitée par la peur ?

 

*Voir aussi l’article dans Le Figaro le 8 juillet 2022 : Recrudescence des contaminations : faut-il avoir peur du Covid ?

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