2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 15:24

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Bien  démarrer la nouvelle année commence par se donner un objectif ambitieux : reprendre la main sur son offre professionnelle et sur son relationnel !

A tous mes chers lecteurs du Journal du Net, je souhaite une bonne année 2014 !

Oui, une bonne année à tous et d’abord à notre pays. Rêvons un peu : de nouvelles perspectives plus attrayantes permettant à la croissance de revenir, avec de nouveaux défis industriels excitants et, cerise sur le gâteau, un chômage qui, enfin, reculerait… Car voici ce dont notre pays a besoin : de nouveaux horizons, de nouvelles idées, des innovations pleines de promesses… dont les deux premiers effets seraient de nous redonner confiance en nous et de nous retrouver.

N’est-ce pas là, pour notre pays, les deux ingrédients les plus importants pour assurer son succès futur : d’abord que les Français se réunissent autour de projets ambitieux et vibrants dans lesquels ils trouvent leur place. Ne lit-on pas volontiers qu’ils sont pessimistes, qu’ils sont en retrait, et que, dans l’entreprise, ils sont peu engagés ; on dit même qu’ils commencent à se méfier les uns des autres…  

Pourtant si chacun d’entre nous n’a pas, seul, le pouvoir  de transformer ces dures réalités politiques, nous pouvons tout de même à notre échelle faire avancer les choses. Comment ? En faisant en sorte que chacun, en ce début d’année, reprenne la main sur les deux éléments sur lesquels il peut agir : travailler sur son offre professionnelle de façon à en développer la puissance et travailler sur son relationnel de façon à permettre de nouvelles opportunités et à enrichir ses perspectives.

Concrètement voici mon premier souhait : ajoutez de la confiance en vous et, pour cela, je ne peux que vous conseiller de faire l’effort de prendre le temps (vraiment) de formaliser de manière structurée les trois points forts de votre offre et de les éclairer d’illustrations concrètes vécues. Rien de tel en effet pour mieux sentir de quoi l’on est capable. Ainsi en s’aimant un peu plus, on peut espérer s’élever. Car il en est ainsi, nous ne travaillons pas assez sur nous. Ecoutons Jean Guéhenno : « Notre plus grand manque est de si mal nous souvenir. A cette perte continue de nous-mêmes, tient peut-être cette insuffisance qu’on sent en soi, cette impuissance à changer la vie.»

Mon deuxième souhait : faire de 2014 l’année de la réactivation de votre relationnel. Comment ? En prenant l’engagement de renouer avec ceux que vous avez négligés (eux aussi…). Faites ce travail sur vos relations, sélectionnez ceux que vous avez envie de revoir et qui peuvent également enrichir votre vision professionnelle. Commencez par les retrouver puis envoyez-leur un message de sympathie traduisant votre envie de les revoir ; proposez-leur un déjeuner, un petit-déjeuner ou je ne sais quoi… mais fixez une échéance (vous avez douze mois devant vous…). Vous verrez comment une douzaine de déjeuners dans l’année 2014 vont changer les choses. Mais ne faites pas ça avant d’avoir transpiré sur la première étape afin d’être au top niveau dans le discours que vous leur livrerez car ils ne manqueront pas de vous demander ce que vous êtes devenu…

« Si tous les gars du monde… » disait la chanson… Bien entendu, je ne suis pas naïf : mes deux souhaits ne changeront pas la face du monde mais je suis sûr qu’ils aideront les lecteurs du Journal du Net dans leur évolution professionnelle ! C’est en tous cas, ce que je leur souhaite ! Bonne année !

Yves Maire du Poset

Lire l'article sur le Journal du Net : http://www.journaldunet.com/management/expert/56148/la-meilleure-facon-de-bien-demarrer-l-annee-2014.shtml 

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 16:34

Cadremploi 22 novembre 2013    Un article de Céline Chaudeau auquel j'ai contribué avec d'autres et qui arrive au bon moment !

Voici 8 pistes pour faire la différence en entretien : les bonnes questions sur le poste, sur l'entreprise, sur l'avenir, sur la prochaine échéance... Sachez prendre la main !

Pour lire l'article, cliquez sur :

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30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 16:22

JDN 25 nov 2013Un article complet de Fabien Renou sur ce sujet de l'entretien d'évaluation annuel, auquel j'ai contribué avec d'autres.

Voici quelques conseils sur la nécessaire préparation, à commencer par l'art de retrouver de la puissance professionnelle pour mieux se vendre et se défendre !

Pour le lire, cliquez sur :

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 13:56
Mon interview dans l'émission Tout Comprendre de Pascal Le Guern
 
L'exclusion des seniors doit cesser - Réussir l'intergénérationnel : une chance pour l'entreprise - Réconcilier vie personnelle et vie professionnelle - Valoriser l'expérience des seniors et leur maturité... 
 
 
Pour écouter l'émission, cliquez sur le bouton ► dans le player ci-dessous :
 
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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 19:09
Article Le Figaro 13 nov 2013INTERVIEW - Spécialiste des ressources humaines, Yves Maire du Poset regrette que la gentillesse soit souvent associée au fayotage. Il appelle à redonner «de l'humanité» aux relations entre collègues.
LE FIGARO - Célébrer une «journée de la gentillesse» souligne peut-être que nous en manquons. Serait-il si difficile d'être gentil en entreprise?

Il pèse souvent un soupçon sur la gentillesse, celui du fayotage. Cela concerne surtout la gentillesse envers ses supérieurs hiérarchiques. Il y a pourtant une différence essentielle entre les deux: être gentil, c'est être soucieux des attentes de l'autre, sans attendre de retour immédiat et évident. Alors que quand on fayote, ce n'est pas pour le bien de l'autre, c'est pour son bien propre. Je suis convaincu que le fayotage ne peut pas tenir très longtemps sans être démasqué.

Être gentil, ce n'est pourtant pas très difficile. La gentillesse est un ensemble de petits riens, en apparence insignifiants mais qui changent tout. C'est anticiper les besoins de l'autre, être prévenant, dans l'empathie. Dans ce monde où tout est payant, offrez quelque chose qui n'attend rien en retour. Concrètement, cela veut dire être courtois, aimable, sincère. Si vous invitez un de vos collègues ou votre assistant au restaurant, c'est bien. Mais une fois à table, n'oubliez pas de vous intéresser vraiment à lui, à ce qui le touche personnellement.

Qu'ont à gagner les entreprises à avoir des employés gentils? 

Les rapports en entreprise sont difficiles, souvent déshumanisés. Je circule en entreprise depuis une quarantaine d'années et je suis frappé par le manque croissant de joie de vivre dans les open-spaces d'aujourd'hui. La chaleur et l'honnêteté des rapports humains sont trop souvent passées au second plan, comme quelque chose de facultatif, de superficiel. C'est une erreur.

La gentillesse profite au business parce qu'elle est synonyme de communication, d'enthousiasme et d'honnêteté. Si quelque chose ne va pas dans un dossier, le dire gentiment permet de résoudre rapidement et efficacement le problème.

La gentillesse n'est-elle jamais une faiblesse?

Il faut rester aimable sans se faire écraser. Être gentil n'empêche pas de se fâcher, de s'imposer. On se croit souvent plus gentil qu'on ne le laisse paraître. À Sciences-Po, quand mes étudiants regardent les captations vidéos de leurs présentations, ils sont souvent surpris d'apparaître plus austères qu'ils ne le sont en réalité. Un petit sourire crispé ne suffit pas, il faut sur-jouer un peu la gentillesse pour qu'elle transparaisse.

Un conseil toutefois: il est inutile, voire risqué, de faire valoir sa gentillesse pendant un entretien d'embauche. Votre comportement parle de lui-même, pas besoin de le présenter comme un «point fort» sur votre CV. Mais vouloir jouer la carte inverse, celle de la méchanceté,en se faisant passer pour le requin prêt à tout pour la réussite de sa future entreprise, c'est faire fausse route. L'employeur risque d'avoir peur que cette énergie déshumanisée se retourne un jour contre lui.

Charles-Henry Groult 

 

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 18:29

Evolution de l'emploi, modifications des organisations, exigences des actionnaires, ouverture à l'international... pourquoi et comment l'entreprise doit impérativement développer la mobilité interne ?

Réponse : en aidant le salarié à être l'acteur principal de sa mobilité !

 

 

Mon interview dans l'émission Tout Comprendre de Pascal Le Guern,
   
      

Pour écouter l'émission, cliquez sur le bouton  ► dans le player ci-dessous

 

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 16:33

Interview BFM 30 aout 2013

Actualisez vos objectifs, retravaillez vos discours, transformez-vous en éponge auprès des autres... bref, sachez profiter de la situation pour valoriser votre offre professionnelle interne comme externe !

 

Mon interview dans l'émission "Good Morning Business" animée par Stéphane Soumier :

 

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 15:00

JDN 28 aout 2013 Nouveaux habits, nouveau cartable, fournitures complètes, crayons taillés. A la rentrée des classes, rien ne saurait manquer à nos enfants ! Et nous, sommes-nous prêts ? Avons-nous bien compris que notre « rentrée des classes » est un moment à ne pas rater ?

 

Comme pour beaucoup de moments importants de la vie, et la rentrée en est un, on agit sans réfléchir, on se dit qu’on sait faire, que ce n’est pas la première fois et que, finalement, il s’agit d’un non-événement.

 

Mais c’est oublier que le temps de vacances, baigné de soleil et de nombreuses joies, nous a mis, peu ou prou, dans un état second, quelque peu comateux… Cet éloignement nous a souvent fait oublier nos réalités professionnelles qui ne manqueront pas de nous revenir comme un boomerang. Et puis même si l’entreprise n’a pas changé durant l’été, ni l’organisation dans laquelle on est ni ses acteurs, la rentrée est toujours l’occasion de nouvelles aventures, de nouveaux enjeux et surtout le moment des bonnes résolutions ! Attention, parfois même, à la rentrée, les cartes sont rebattues !

Or c’est là où un peu de préparation est nécessaire, quelle que soit notre position. Et puis si nous ne nous préparons pas dès notre retour, quand le ferons-nous…?

 

Voici donc 3 bonnes résolutions à mettre en œuvre impérativement

 

1) Faire le point

En prenant le temps de la réflexion : une heure ou deux d’isolement, avec un papier et un crayon (taillé !), pour se concentrer sur le rappel des éléments importants de notre situation professionnelle. Exemples de questions à se poser : quels sont les enjeux majeurs de l’entreprise, du département dans lequel je suis, quels sont mes objectifs, quels sont les obstacles principaux à leur réalisation, quels sont mes atouts pour les surmonter et quels sont mes faiblesses ? Et puis quels sont les acteurs en jeu, ceux qui sont mes alliés et les autres ? Enfin, quelles idées nouvelles puis-je avoir pour faire avancer les choses ?

Bref une série de questions agissant comme un mini bilan d’étape dont la formalisation va nous éclairer et nous aider à nous ressourcer, à reprendre en main la situation.

Un mini bilan qui va aussi nous aider à mieux percevoir les priorités !

 

2) Retisser nos liens

La rentrée ce sont les retrouvailles, heureuses et nécessaires mais dont il n’est pas inutile de profiter pour valoriser la position dont nous bénéficions ! Et là, je vous conseille, dès votre retour, de prendre l’initiative de ces rencontres avec les acteurs clés : le prétexte des vacances est idéal. Cependant, adoptez avec eux une attitude d’écoute : certes, vous êtes plein des joies et des découvertes de vos vacances et vous n’avez en effet qu’une idée, les raconter… Mais êtes-vous bien sûr qu’il faille commencer par parler de vous ? Croyez-moi, ne frustrez pas vos interlocuteurs du plaisir de vous raconter l’histoire de leur été ! Demandez-leur des précisions, interrogez-les sur le temps qu’ils ont eu, sur les rencontres qu’ils ont faites, les aventures qu’ils ont vécues ! Mettez-vous dans leur histoire comme une mère aimante goûte les exploits de son enfant… Cependant, si l’on vous en prie, soyez prêts à raconter vos vacances mais de manière succincte et très concrète : aussi, préparez avec soin votre récit ! Vous le verrez vite, votre empathie va les réjouir !

 

Comprenez surtout que c’est le moment idéal, dans un second temps, pour faire avec eux un tour d’horizon professionnel. Faites-les parler de leurs idées, de leurs projets, sachez capter ces informations qui enrichiront votre vision de l’avenir et vos perspectives personnelles.

 

3) Être force de propositions

Enfin, troisième étape, je vous suggère de vous projeter dans l’avenir avec quelques questions : comment puis-je faire pour mieux contribuer à l’atteinte de mes objectifs, comment faire pour que mon offre professionnelle aide davantage mon entreprise ? Demandez-vous sincèrement ce que vous pouvez faire de plus pour elle !

Vous pouvez ensuite, lors d’un rendez-vous avec votre hiérarchie, pris à votre initiative, faire confirmer vos objectifs personnels pour les mois à venir ou faire préciser tel ou tel point; mieux encore, grâce aux échanges que vous avez créés, grâce aux idées que vous aurez produites, vous êtes dans les meilleures conditions pour être cette force de proposition si une innovation cohérente avec votre fonction vous paraît opportune. Croyez-vous en effet qu’à cet instant précis, votre hiérarchie, qui n’a pas fait le même exercice, possède autant que vous cette richesse d’informations et cette capacité d’innover ?

 

En procédant ainsi, vous donnez une image très positive, celle de quelqu’un parfaitement dans le pli des objectifs de l’entreprise et prêt à s’investir davantage. A l’occasion de cette remise en selle, vous enrichissez votre offre professionnelle d’un attrait supplémentaire et d’un vrai capital de sympathie !

Yves Maire du Poset

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 16:41

JDN 19 aout 2013Lire ou relire pendant ses vacances de grandes œuvres classiques comme Le Père Goriot, c’est atteindre deux bonheurs : un immense plaisir de lecture et celui d’en ressortir plus fort pour affronter la rentrée !

 

Chaque fois que je lis ce roman, je n’ai qu’une envie : celle de le partager avec ceux que j’aime. Je me dis que ses secrets sont décidément inépuisables, ses beautés si nombreuses, ses enseignements si convaincants, ses exemples si vertueux, y compris pour nous autres à l’aube de ce XXIème siècle…

Il y a en effet tant à apprendre de cette histoire et de tous ses personnages dont les trajectoires se croisent chez Madame VAUQUER. Souvenez-vous : une pension de troisième catégorie recueille des êtres, tous différents, tous désargentés. Parmi eux, le Père Goriot, vieil homme dont la feue grande fortune s’amenuise au fur et à mesure que ses filles le sollicitent ; il y a Rastignac, jeune aristocrate de province sans le sou qui comprend vite la dureté de la vie dans la capitale ; il y a Bianchon, futur médecin droit, simple et solide ; il y a Vautrin, fameux brigand machiavélique, il y a… tant d’exemples bons et mauvais dont la première des vertus est de nous faire réfléchir sur nous-mêmes.

 

Confrontés à ces thèmes incontournables que sont l’amour, l’argent, le pouvoir, il leur arrive ce qui arrive à tout le monde : la tentation du vice. Certains y tombent, d’autres y résistent, parfois.

 

Voyons d'abord le Père Goriot : comment ne pas voir en lui l’illustration de l’exemple à ne pas suivre ? Cet homme qui fut, à force de travail, un grand professionnel reconnu, riche et, d’une certaine manière, admirable, devient dans sa vieillesse, pauvre et moins que rien aux yeux de presque tous. La raison ? Il n’a pas su élever ses filles dans le droit chemin. Il n’a pas su reproduire en elles, ce qui l’a conduit, lui-même, au succès. Il les a trop aimées, c’est-à-dire mal aimées ! « Il aimait jusqu’au mal qu’elles lui faisaient. » dit Balzac. En leur assurant de beaux mariages et en leur donnant de solides dots, en les protégeant par trop, il en a fait d’horribles enfants gâtées, avides et impuissantes, sauf pour ce qui est de mettre leur père sur la paille.

La rencontre d’un tel personnage nous enseigne ceci : à l’instar de « qui trop embrasse, mal étreint », il n’est pas mauvais d’avoir pour guide : « qui trop aime, mal aime » ! Vouloir aider nos enfants, toujours, quelles que soient les circonstances, leur éviter toute contrainte, les protéger de toute dureté de la vie…, voilà de quoi faire d’eux, à terme, nos futurs ennemis ! Un enseignement sans doute profitable dans ce nouveau siècle où règne l’enfant roi et où les repères changent, s’inversent et, parfois, disparaissent…

  

Voyons maintenant Rastignac : jeune, ébloui par ce Paris aux mille éclats, on le suit dans ses rencontres, dans ses échecs, dans ses succès. Il veut réussir et, comme tout impatient à cet âge, il choisit de brûler les étapes : faire son droit ? Non, plutôt trouver une âme sœur ou une maîtresse brillante qui lui raccourcira la route vers le succès ! On le suit dans ses tentations, ses faiblesses. Par exemple, face à la combine scélérate que lui propose Vautrin qui eut fait de lui en un temps record un homme riche (avec toutefois un meurtre sur la conscience). Il hésite, avec quelque difficulté, certes. Mais avec le bon conseil de son magnifique ami, Bianchon le sage, il se range à la raison. Voulant le ramener à de plus simples ambitions, Bianchon lui dit : « Notre bonheur, mon cher, tiendra toujours entre la plante de nos pieds et notre occiput. » Rastignac entend le message : il résistera et décidera de ne pas entrer sur ce mauvais chemin.

Rastignac, dans ce roman, est en fait plus vertueux que la tournure que son nom a prise indûment de nos jours. D’ailleurs, n’est-il pas le seul à accompagner ce Père Goriot, qu’il a sincèrement aimé, à sa dernière demeure ?

Voici donc deux personnages dont le thème de l’aveuglement les réunit, en somme, pour un temps : Goriot dont l’amour de ses filles le fait entrer dans la nuit avant d’en mourir et Rastignac qui, au contact de Goriot notamment, va progressivement sortir de sa naïveté de jeune homme.

 

Tant de beautés et d’enseignements dans un roman. Et puis dans cette œuvre, il y a une multitude d’autres choses si savoureuses et si riches d’enseignements profitables : la manière dont Rastignac va « réseauter » comme l’on dit aujourd’hui pour sortir de son isolement, les leçons de vie de Madame de Beauséant dont va s’inspirer Rastignac, la vision de la société que professe Vautrin, cruelle certes mais dont les mécanismes mis à nu crèvent de vérité, l’échange épistolaire entre Rastignac et sa mère dont l’humanité nous fait pleurer… Chaque situation, chaque personnage apporte son œuvre d’intelligence et nous saisit comme un miroir dressé devant nous, images d’un autre temps et pourtant si proches.

 

Nul doute qu’en sortant d’un tel livre, votre rentrée, côté professionnel comme personnel, en sera enrichie, éclairée ! En tout état de cause, il vous comblera de bonheur !

Yves Maire du Poset

 

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 15:55
Mon interview du 28 mai 2013 sur France Info, émission Tout Comprendre de Pascal Le Guern,
   
 
Pour écouter l'émission, cliquez sur le bouton  ► dans le player ci-dessous

 

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